Delaunoy Jean Christophe
ARTISTE PEINTRE-CERAMISTE
Jean-Christophe Delaunoy
Peintre et céramiste
Formé à l’École des Beaux-Arts de Valenciennes, où il obtient un Diplôme National des Arts et Techniques (DNAT), Jean-Christophe Delaunoy poursuit ensuite son perfectionnement en peinture et en céramique aux Ateliers Auguste Renoir à Paris.
Son œuvre s’inscrit dans une figuration libre, où formes et couleurs traduisent ses observations, réflexions et engagements, en s’affranchissant des codes stricts de la représentation réaliste. Inspiré par la nature et la figure humaine, l’artiste développe une écriture plastique singulière, à la croisée de l’émotion et de la réflexion, nourrie par l’art naïf et l’expressionnisme.
Ses créations ont été présentées à de nombreuses reprises en France et à l’étranger, notamment à la Galerie Aquarium et à la Galerie Les Wantiers à Valenciennes, à la Galerie du Soleil Bleu à Versailles, à la Galerie du Beffroi à Namur, ainsi qu’à la Communauté française de Belgique à Bruxelles.
Il a également participé à plusieurs manifestations majeures, dont le Salon d’Automne sur les Champs-Élysées à Paris, MAC Paris – Découvreur de talents, et le Grand Palais de Lille, où son travail a été remarqué pour sa force expressive et la cohérence de sa démarche.
« L’art n’est pas un miroir, mais un marteau ! selon le documentariste John Grierson. Jean-Christophe Delaunoy nous le confirme au long des méandres d’une rivière de la vie qui ne cesse de traverser ses travaux. La vie, la vie sociale, la vie intime, la vie difficile… est saisie dans ses manifestations multiples par cet artiste discret. Jamais loquace, Jean-Christophe Delaunoy devient pourtant bavard, chatoyant, foisonnant, exubérant dès lors qu’il utilise un autre médium que la parole. Comme tous les artistes dignes de ce titre, il donne forme aux matériaux quels qu’ils soient, et qui deviennent sous son œil et entre ses mains les instruments d’une histoire et le vecteur d’un discours. Certes, une apparence douce, chantante et colorée caractérise toujours ses figurations et ses mises en scène ou en espace ; l’on perçoit au premier regard une invitation vers le miroir d’une belle histoire. Mais dès que l’attention est captée commence l’ouvrage du marteau ! »
— Texte de William Maufroy, conservateur en chef du patrimoine